Ce chiffre est en hausse de 0,1 point par rapport à une précédente estimation datant de début février. Pour expliquer cette progression bienvenue, la Banque de France met en avant des livraisons et des commandes qui s'accélèrent dans les secteurs des biens d'équipement, de la chimie et de l'agroalimentaire. Par ailleurs, les stocks sont pratiquement à leurs plus bas depuis 2010. La production va donc être logiquement relancée.
Deux autres secteurs d'activité sont en croissance : les services, en particulier l'intérim — toujours un bon indicateur pour l'emploi en général —, le conseil et les transports où les effectifs continuent de se renforcer. Et le bâtiment est lui aussi reparti avec des carnets de commande qui s'étoffent. Le secteur, en particulier le second œuvre et le gros œuvre dans une moindre mesure « retrouvent leur niveau de 2011 », indique la Banque de France.
Sur l'ensemble de l'année, l'institution annonce une croissance de 1,3%. C'est plus qu'en 2016 où elle s'était finalement établie à 1,1%. Le gouvernement avait lui planché sur une hypothèse à 1,5%, une estimation jugée optimiste par la Cour des comptes ou le consensus des économistes qui tourne entre 1,2 et 1,3%. En revanche, l'OCDE est dans la lignée du gouvernement, l'organisation prévoyant une croissance de 1,4%.
Deux autres secteurs d'activité sont en croissance : les services, en particulier l'intérim — toujours un bon indicateur pour l'emploi en général —, le conseil et les transports où les effectifs continuent de se renforcer. Et le bâtiment est lui aussi reparti avec des carnets de commande qui s'étoffent. Le secteur, en particulier le second œuvre et le gros œuvre dans une moindre mesure « retrouvent leur niveau de 2011 », indique la Banque de France.
Sur l'ensemble de l'année, l'institution annonce une croissance de 1,3%. C'est plus qu'en 2016 où elle s'était finalement établie à 1,1%. Le gouvernement avait lui planché sur une hypothèse à 1,5%, une estimation jugée optimiste par la Cour des comptes ou le consensus des économistes qui tourne entre 1,2 et 1,3%. En revanche, l'OCDE est dans la lignée du gouvernement, l'organisation prévoyant une croissance de 1,4%.