Facebook, fort de ses deux milliards d'utilisateurs, est un réseau social incontournable dans tous les domaines, y compris ceux de la politique. Les élections présidentielles américaines, ainsi que les élections français et allemandes dans une moindre mesure, ont été polluées par des fausses nouvelles qui ont pu, dans certains cas, faire pencher la balance. Il circule aussi sur Facebook des messages de haine et de harcèlement. Des activités toxiques qui ont un impact très négatif sur les utilisateurs du réseau social.
C'est la raison pour laquelle Mark Zuckerberg s'engage en ce début d'année à protéger la communauté de Facebook. L'entreprise n'a pas attendu son patron pour mettre en place des garde-fous, mais l'implication forte du fondateur est une nouveauté par rapport à l'inertie relative dont il faisait jusqu'à présent preuve sur ces sujets. Mark Zuckerberg a d'autres intérêts cette année, à commencer par les technologies qui permettent de « décentraliser » un peu plus internet vis à vis des États, des groupes de pression et des grosses sociétés internet.
Il évoque ici le chiffrement, qui permet de protéger les données privées des utilisateurs, ainsi que les cryptomonnaies. Certes, ces technologies sont très difficiles à contrôler par les entreprises, mais Mark Zuckerberg a « envie d'aller plus loin et d'étudier les aspects positifs et négatifs de ces technologies et la meilleure façon de les utiliser à notre service ». Reste à savoir au service qui : des utilisateurs… ou de Facebook ?
C'est la raison pour laquelle Mark Zuckerberg s'engage en ce début d'année à protéger la communauté de Facebook. L'entreprise n'a pas attendu son patron pour mettre en place des garde-fous, mais l'implication forte du fondateur est une nouveauté par rapport à l'inertie relative dont il faisait jusqu'à présent preuve sur ces sujets. Mark Zuckerberg a d'autres intérêts cette année, à commencer par les technologies qui permettent de « décentraliser » un peu plus internet vis à vis des États, des groupes de pression et des grosses sociétés internet.
Il évoque ici le chiffrement, qui permet de protéger les données privées des utilisateurs, ainsi que les cryptomonnaies. Certes, ces technologies sont très difficiles à contrôler par les entreprises, mais Mark Zuckerberg a « envie d'aller plus loin et d'étudier les aspects positifs et négatifs de ces technologies et la meilleure façon de les utiliser à notre service ». Reste à savoir au service qui : des utilisateurs… ou de Facebook ?